J’ai composé pour ma mère, il y a quelques années!
Maman! Maman, je voulais te dire simplement, je t’aime!
Maman, t’ai-je assez dit, je t’aime, trop peu, je crois!
Maman, tu as tout donné, pour moi, je t’aime!
Maman, je n’ai pas toujours été démonstratif de mon amour, mais je t’aime!
Maman, je voudrais toujours te dire que je t’aime!
Maman, pour m’avoir donné la vie, je t’aime!
Maman, pour les sacrifices que tu as faits pour moi, je t’aime!
Maman, pour m’avoir toujours pardonné, je t’aime!
Maman, pour le don de ton cœur de mère, je t’aime!
Maman, parce que tu m’aimes sans condition, je t’aime!
Maman, pour toute les fois que tu as essuyé mes larmes, je t’aime!
Maman, pour toutes les souffrances endurées pour moi, je t’aime!
Maman, parce que tu es mon cadeau de Dieu, je t’aime!
Maman, pour m’avoir toujours donné tout ce dont j’avais besoin, je t’aime!
Maman, pour t’avoir privé de beaucoup de chose pour moi, je t’aime!
Maman, je ne te dirai jamais assez, je t’aime!
Maman, je remercie Dieu de m’avoir donné une mère comme toi, je t’aime!
Maman, pour toutes les larmes que tu as versées, je t’aime!
Maman, voilà en quelques mots ce que je voulais te dire, je t’aime! Ton Fils, qui t’aime!
Maryo
Chère Thérèse, Thérèse, toi, qui comme une fleur s’est épanouie et a porté un fruit qui germera en nos vies tel un souvenir; un souvenir qui perdurera dans nos mémoires et nos cœurs, tu as été, et ce tout au long de ta vie, une mère extraordinaire et une femme dévouée non seulement, pour ton Rosaire et tes enfants, mais aussi pour ceux et celles qui avaient ce besoin d’être écoutés, conseillés, ta porte était toujours grande ouverte pour tous et toutes! Tu as su nous transmettre ta soif et ton amour de la vie. Tu as laissé en héritage, à ceux que tu as connus et aimés, ta générosité, ta patience, ta persévérance et ton humanisme. Tu t’es donné toute ta vie pour les autres, telle une rose qui étale ses pétales au vent qui souffle. Toi, femme au cœur fier et femme de tête, d’un labeur constant, tu as su garder ce sourire franc et honnête, tant dans les jours ensoleillés que dans les jours orageux. Ce don de soi, qui te caractérisait si bien, fut une de tes plus grandes qualités et il nous sera impossible de te rendre la pareille dans cette vie. Par contre, si chacun de nous inculque à chaque personne qui nous entoure un pétale de cette fleur si rare que tu es, nous te garderons en souvenir et très longtemps. Merci chere Thérèse d’avoir pris du temps pour nous aimer toutes et tous inconditionnellement et sans jugement. Maintenant, les portes du Ciel s’ouvrent à toi maintenant et ce sera les Anges qui te serviront là-haut.
Ton fils Maryo
P.S. Ce texte a été composé à partir de plusieurs textes lus ici et là.
